Bal de frêne épouse Camille,
Bise à nue s’entre-éternel,
Glacée perdue d’un clou d’vanille,
J’aurais voulu oyez au ciel.
Ma tête est autant pleine que mon sommeil se tarit. Les idées débordent les unes sur les autres jusqu’à former un tas illisible et informe. Tout se mélange, mes phrases ont des débuts, des milieux et des fins mais pas dans cet ordre là.
Aber en vu déjà ici,
Mort tôt si car pourquoi jeunesse,
J’avais espoir d’avoir la vie,
Pour retrouver un nous vieillesse.
J’ai une tête de nœuds.
|27/04/2021|
Votre commentaire