Retour au calme… et aux contrées oubliées du silence. Dans un endroit où même mes songes se reposent.
Retour dans cette forêt immense et enneigée. Là où des espoirs oubliés sont venus puiser leur source. Ici, pas de nuages et pas de ciel bleu non plus. Ici, seule la nuit est ; le reste sommeille. Tout le reste n’est que coton et plumes ; des matelas où viennent se noyer les sons.
Retour dans la douceur feutrée du coin de cheminée de la maison qui n’existe pas en vrai. Dans cette cage invisible aux barreaux taillés des rêves et des mirages. Dans la demeure de mon esprit apaisé, un lieu que j’aimerais visiter plus fréquemment. Un lieu que le réel efface trop souvent.
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