Des ballets de gens qui passent
Pas après pas chacun traverse
Remplissent le vide de l’espace
À l’horizon bientôt disparaissent
Des corps célestes filent incandescents se perdre dans le noir de la nuit. Je vois le ciel sombre. Je suis sous la voûte infinie. Les étoiles clignent, leur lumière les précède. Je n’existe déjà presque plus. Mon aura s’évapore, se dissipe dans le tout. Je ne suis plus un individu. Peu à peu je redeviens poussière d’atomes.
Et les chants longtemps ont continué
Les voix ne se sont pas tues
Le repos n’a pas été trouvé
La vie de se propager continue
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