Mardi 20 août 2019

Des ballets de gens qui passent

Pas après pas chacun traverse

Remplissent le vide de l’espace

À l’horizon bientôt disparaissent

Des corps célestes filent incandescents se perdre dans le noir de la nuit. Je vois le ciel sombre. Je suis sous la voûte infinie. Les étoiles clignent, leur lumière les précède. Je n’existe déjà presque plus. Mon aura s’évapore, se dissipe dans le tout. Je ne suis plus un individu. Peu à peu je redeviens poussière d’atomes.

Et les chants longtemps ont continué

Les voix ne se sont pas tues

Le repos n’a pas été trouvé

La vie de se propager continue

|03/08/2019|
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